Faire avancer la recherche
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Publié le 01-01-1970 - MAJ le 06-03-2014 - 0 commentaire(s)
Génétique, Recherche clinique, Recherche fondamentale, Recherche pharmacologique, Recherche translationnelle
Conseil Scientifique : relais et continuité - Jamilé Hazan
Le Conseil Scientique commun aux trois associations AFAF, ASL et CSC est présidé par Jamilé Hazan depuis 2014. Notre ami Pierre Rustin a souhaité être relayé dans cette mission très importante. Nous le remercions encore pour le travail accompli pour CSC. L'association accueille chaleureusement la nouvelle présidente, Jamilé Hazan, qui connait déjà bien le Conseil, y étant membre depuis de nombreuses années.
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Conseil Scientifique : relais et continuité - Jamilé Hazan
En ce début 2014, le Conseil Scientifique commun aux trois associations AFAF-ASL-CSC a subi quelques remaniements.
En premier lieu, et à notre grand regret, le Président de notre conseil scientifique, le Dr Pierre Rustin m'a cédé ses responsabilités après cinq années passées à coordonner les appels d’offres et expertises des projets scientifiques avec une grande rigueur, une présence toujours bienveillante et une constante disponibilité pour lesquelles nous le remercions tous chaleureusement. Toutefois, Pierre restera fort heureusement un membre actif de ce conseil et me secondera dans ma nouvelle mission de Présidente dans les années à venir.
Ce changement de Présidence a également suscité un léger remaniement des membres du CS, qui comme tout conseil scientifique ou médical se doit de subir quelques changements tous les 4 ou 5 ans afin d’ouvrir de nouveaux horizons d’expertises par l’entrée au conseil de nouveaux membres. Ainsi, nous avons la joie d’accueillir le Dr Yvon Trottier (IGBMC, Strasbourg), spécialiste des ataxies spino-cérébelleuses.
En parallèle de l’entrée au conseil de nouveaux experts, nous avons communément décidé de diviser notre CS en deux groupes d’experts en fonction de la disponibilité actuelle de certains de ses membres:
En premier lieu, et à notre grand regret, le Président de notre conseil scientifique, le Dr Pierre Rustin m'a cédé ses responsabilités après cinq années passées à coordonner les appels d’offres et expertises des projets scientifiques avec une grande rigueur, une présence toujours bienveillante et une constante disponibilité pour lesquelles nous le remercions tous chaleureusement. Toutefois, Pierre restera fort heureusement un membre actif de ce conseil et me secondera dans ma nouvelle mission de Présidente dans les années à venir.
Ce changement de Présidence a également suscité un léger remaniement des membres du CS, qui comme tout conseil scientifique ou médical se doit de subir quelques changements tous les 4 ou 5 ans afin d’ouvrir de nouveaux horizons d’expertises par l’entrée au conseil de nouveaux membres. Ainsi, nous avons la joie d’accueillir le Dr Yvon Trottier (IGBMC, Strasbourg), spécialiste des ataxies spino-cérébelleuses.
En parallèle de l’entrée au conseil de nouveaux experts, nous avons communément décidé de diviser notre CS en deux groupes d’experts en fonction de la disponibilité actuelle de certains de ses membres:
- Un groupe de membres actifs qui continueront de siéger assidûment aux réunionsdu CS et participeront régulièrement à l’analyse des dossiers de recherche: Odile Boespflug-Tangy, Alexis Brice, Anne-Laure Bulteau, Lydie Burglen, Jordi Casademont, Charles Duyckaerts, Jamilé Hazan, Hélène Puccio, Pierre Rustin, Yvon Trottier, Jürgen-Christoph Von Kleist-Retzow.
- Un groupe de membres consultants qui de par leur implication passée et leur grandeconnaissance de nos pathologies seront sollicités de façon ponctuelle sur des dossiers correspondant plus particulièrement à leurs champs d’expertise: Patrick Aubourg, Patrick Calvas, Patrick Curmi, Jérôme Honnorat, Michel Koenig, Karine Nguyen, Véronique Paquis-Flucklinger, Jean Claude Turpin.
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Jamilé Hazan - Directeur de Recherche au CNRS
J'ai débuté ma carrière en tant que généticienne humaine dans le laboratoire de Jean Weissenbach, où j'ai réalisé mon doctorat sur une nouvelle méthode de cartographie de gènes responsables de maladies héréditaires, avant d’intégrer le CNRS comme chercheur en 1995.
C’est au cours de ma thèse que j'ai commencé à m’intéresser plus particulièrement à un groupe de maladies neurodégénératives, peu étudiées à l’époque, les paraplégies spastiques héréditaires (PSH), dont je cherche toujours à élucider les mécanismes pathogéniques chez un modèle animal.
Après avoir identifié avec son équipe l’un des gènes majeurs responsables de PSH (1999) et m’être installée à Londres, j'ai légèrement changé d’orientation et me suis progressivement recyclée en neurobiologie du développement en utilisant comme modèle animal, l’embryon de poulet, puis celui de poisson-zèbre.
En janvier 2007, je suis revenue en France pour y développer un projet à la croisée entre mes travaux passés de généticienne et ceux relatifs au développement du système moteur chez le poisson-zèbre. En effet, mon équipe, intitulée « Développement et Dégénérescence des Neurones Moteurs Spinaux » et installée à l’Université Pierre et Marie Curie à Paris depuis janvier 2011, cherche actuellement à décrypter le rôle et les mécanismes d’action de différentes protéines impliquées dans les PSH au cours du développement embryonnaire du système nerveux du poisson-zèbre, un modèle vertébré parfaitement adapté pour ce type d’études physiopathologiques.
Après avoir identifié avec son équipe l’un des gènes majeurs responsables de PSH (1999) et m’être installée à Londres, j'ai légèrement changé d’orientation et me suis progressivement recyclée en neurobiologie du développement en utilisant comme modèle animal, l’embryon de poulet, puis celui de poisson-zèbre.
En janvier 2007, je suis revenue en France pour y développer un projet à la croisée entre mes travaux passés de généticienne et ceux relatifs au développement du système moteur chez le poisson-zèbre. En effet, mon équipe, intitulée « Développement et Dégénérescence des Neurones Moteurs Spinaux » et installée à l’Université Pierre et Marie Curie à Paris depuis janvier 2011, cherche actuellement à décrypter le rôle et les mécanismes d’action de différentes protéines impliquées dans les PSH au cours du développement embryonnaire du système nerveux du poisson-zèbre, un modèle vertébré parfaitement adapté pour ce type d’études physiopathologiques.
Sylvia a écrit
Merci à Mme Bassant ainsi qu'à CSC pour cet article intéressant. C'est bien connu, l'espoir fait vivre !
SVersailles
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Point sur les recherches en cours sur les traitements susceptibles d’agir sur les ataxies spinocérébelleuses
Sylvia a écrit
’Association française contre les myopathies (AFM) nous a appris qu’il est possible de prétendre à des gènes médicaments à plus ou moins long terme à partir du moment où le gène responsable d’une ataxie est identifié.’Association française contre les myopathies (AFM) nous a appris qu’il est possible de prétendre à des gènes médicaments à plus ou moins long terme à partir du moment où le gène responsable d’une ataxie est identifié. Qu'en pense M. Stevanin ? Comment peut-on affirmer cela ?
Merci pour la réponse. SVersailles
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Entretien avec Giovanni Stévanin, Directeur de recherches à l’INSERM et professeur à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes
hvivet a écrit
Exce?lente information ! Merci CSC !
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RADIAL, un algorithme d’aide au diagnostic.
fregate a écrit
moi frégate je présente des signes cliniques d'essoufflement ,a la marche a l'effort, donc je fais de la kiné respiratoire!!
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En inde, la recherche avance sur les problèmes respiratoires liés à certaines ataxies !
